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LBRY Claims • covid-19-tester-le-degr-de-soumission

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Created On
18 Nov 2020 09:10:53 UTC
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COVID-19 : Tester le degré de soumission des peuples. Activation de nos interrupteurs de paranoïa
"Opération COVID-19 : Tester le degré de soumission des peuples Activation de nos interupteurs de paranoïa"
https://www.mondialisation.ca/operation-covid-19-tester-le-degre-de-soumission-des-peuples-activation-de-nos-interrupteurs-de-paranoia/5644738

Nous sommes dans un monde globalement sidéré, aujourd’hui.

Autrement dit, tétanisé, paniqué.

Nos cerveaux sont placés dans une situation de paranoïa excessive, démesurée.

Nos interrupteurs de paranoïa ont été activés !

Martha Stout, psychologue états-unienne, décrit cela dans son livre, « The Paranoïa Switch », paru en 2007, non traduit en français.

Notre interrupteur de paranoïa avait déjà été activé le 11 septembre 2001.

Vous vous souvenez du 18 juin 2001 ? Ce que vous avez fait, avez mangé, les personnes que vous avez rencontrées, le programme TV…

Non, à moins de vous être mariés ce jour-là. Et encore.

Par contre, tout le monde se souvient de ce qu’il faisait le 11 septembre 2001, et surtout de ce qui s’est passé ce jour-là.

Pas parce que tous les gens ont une mémoire formidable ou se sont mariés ce jour-là.

Parce que leur interrupteur de paranoïa a été activé de manière maximale.

Je ne vais pas vous faire un cours de neurosciences ou d’anatomie du cerveau, ou vous parler d’amygdale cérébrale ni de système limbique.

Ceux qui le veulent, écoutez l’auteur [1] ou lisez le livre de Martha Stout (photo à droite) [2], édifiant, instructif, ou cet article de synthèse traduit en français sur le site fr.sott.net :

La guerre limbique et l’« Interrupteur de paranoïa » de Martha Stout

En résumé, plus un événement traumatique est fort, surtout visuel, plus l’amygdale cérébrale, centre de la peur et de l’agressivité, est stimulée et surtout, moins l’hippocampe (centre de la mémoire factuelle) et ses relais avec les centres supérieurs du cerveau (réflexion) sont opérationnels, intègres.

Cela signifie ?

Après l’événement traumatique, même des années après, toute image, son, mot en rapport de près ou de loin avec cet événement nous replonge dans le même état de peur par une activation de l’amygdale et une dépression de l’hippocampe et de nos centres cérébraux supérieurs.

En gros, le « paniqueur », libéré du contrôle de « l’analyste », prend les rênes de notre cerveau, et ce n’est pas beau, ce n’est pas bon.

Par exemple, le bruit de klaxon d’une voiture dans la rue peut réveiller immédiatement chez un vétéran de guerre une paranoïa intense complètement disproportionnée voire hors de propos, échappant à la raison.

Martha Stout souligne le fait que parmi toutes les expériences traumatiques, celles qui vont causer le plus de sidération, de terreur sont celles cau
...
https://www.youtube.com/watch?v=QK4gCql6RcE
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Unspecified
video/mp4
Language
Open in LBRY

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