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9 Jun 2021 16:47:32 UTC
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La-cage-aux-folles
La Cage aux folles est un film franco-italien réalisé par Édouard Molinaro, sorti en 1978, adapté de la pièce de théâtre éponyme.
Succès commercial en France, il demeure également de 1980 à 1998 le film de langue étrangère le plus vu aux États-Unis1,2. Après la comédie musicale en 1983, le remake américain du film, Birdcage, sort avec succès aux États-Unis en 19963,4,5. Édouard Molinaro réalise en 1980 une suite, La Cage aux folles 2, basé sur un scénario original. Cinq ans plus tard, en 1985, un troisième volet réalisé par Georges Lautner, La Cage aux folles 3, sort en salles.
Synopsis
Renato Baldi et Albin Mougeotte sont un couple homosexuel presque sans histoire, à part les caprices récurrents d'Albin. Ils possèdent un cabaret de travestis, La Cage Aux Folles, dont Albin est l’artiste principal, sous le pseudonyme de Zaza Napoli.
Renato a eu jadis une brève liaison avec une femme, dont est né un fils, Laurent. Ce dernier rend visite à son père et lui apprend qu'il a l'intention de se marier avec sa petite amie, Andréa. Désolé comme tous les parents de "perdre" son fils mais malgré tout soulagé de savoir qu'il est hétérosexuel, Renato s'accommode de la situation. Le problème est qu'Andréa est la fille du député Simon Charrier, membre éminent du parti ultraconservateur « Union pour l'ordre moral » et père de famille particulièrement sévère. Pour ne pas choquer sa future belle-famille, Laurent demande à son père de jouer le jeu de la famille respectable. Renato accepte à contrecœur : cela implique d'éloigner Albin le temps de la rencontre entre les deux familles, ce que l'intéressé risque de très mal prendre.
Par ailleurs, Simon Charrier, en disgrâce à cause d'un scandale qui éclabousse son parti, voit dans le mariage de sa fille l'occasion de redorer son blason et est d'autant plus exigeant sur la future belle-famille de sa fille. Cela pousse Andréa, qui sait tout de la famille de Laurent, à mentir à son père pour ne pas le mettre en colère.
Après que Renato a tenté de ruser, sans résultat, pour éloigner Albin sans le fâcher, le conflit éclate au sein du couple. Renato est partagé entre l'envie d'aider son fils et son amour pour Albin, qui se sent rejeté. Renato va jusqu'à contacter la mère de Laurent, Simone, pour lui demander de se faire passer pour son épouse, ce qui vexe Albin. Renato finit par accepter qu'Albin reste pour la soirée, même s'il se doute, connaissant le caractère de son compagnon, que cela va compliquer les choses et rendre leur comédie beaucoup moins crédible.
Le jour de la réunion, au dernier moment, Albin décide, à l'insu de Renato et Laurent, de s’habiller en femme pour se faire passer pour la mère de ce dernier. M. et Mme Charrier, secrètement poursuivis par des journalistes, arrivent à la réunion et sont d'abord abusés. Ils ne savent pas qu'ils sont dans les murs de La Cage aux Folles, ce que les journalistes, eux, comprennent vite. À la suite d'une série de quiproquos et de l'arrivée inopinée de Simone, Charrier et son épouse découvrent la vérité, et qui sont vraiment leurs hôtes. Ils décident alors de s'en aller. Mais les journalistes, en quête de scoop, veulent les contraindre à sortir non pas par la porte de l'immeuble mais par la boîte de nuit pour les prendre en photo.
Effondré, Charrier croit sa carrière politique ruinée. Albin élabore un stratagème osé pour faire sortir l'homme politique et son épouse de La Cage aux folles sans éveiller les soupçons : les déguiser en habitués du cabaret afin de les rendre méconnaissables aux yeux des paparazzi (Mme Charrier en robe du soir et M. Charrier en travesti). Albin prend soin au préalable de conclure un marché avec le couple Charrier : donner leur bénédiction à l'union de leurs enfants contre une évasion discrète. Le stratagème fonctionne à merveille et le mariage a lieu.
Données clés
Réalisation Édouard Molinaro
Scénario D'après la pièce de Jean Poiret
Musique Ennio Morricone
Acteurs principaux
Ugo Tognazzi
Michel Serrault
Sociétés de production Les Artistes Associés (Paris)
Da Ma Produzione s.p.a (Rome)
Pays d’origine Drapeau de la France France
Drapeau de l'Italie Italie
Genre Comédie
Durée 103 minutes
Sortie 1978
Transaction
Created
1 year ago
Content Type
Language
video/mp4
fr
Mille-milliards-de-dollars-1982
Mille milliards de dollars est un film d'Henri Verneuil sorti en 1982.
Il emprunte son titre, ainsi que quelques répliques, à un livre d'économie du même nom, Mille milliards de dollars.
Résumé détaillé
Grand reporter au journal La Tribune, Paul Kerjean reçoit un appel téléphonique d'un informateur anonyme, qui lui donne rendez-vous dans un parking désert. Son interlocuteur l'informe que l'industriel et politicien Jacques Benoît-Lambert aurait reçu des pots-de-vin pour céder une entreprise Electronic de France, à la tête de laquelle il vient d'être nommé, à la multinationale américaine GTI. Après avoir eu confirmation des accusations en approfondissant son enquête, en interrogeant l'épouse trompée de JBL et le détective privé engagé par cette dernière pour suivre ce dernier et sa maîtresse, Laura Weber, Kerjean fait publier son article qui connaît un énorme retentissement et provoque un scandale.
Le lendemain de la publication, Benoît-Lambert est retrouvé mort dans sa voiture, une balle dans la tête. La police conclut au suicide. De retour d'un week-end dans la ville où il a fait ses débuts et s'est marié avec Hélène, dont il vit séparé et avec lequel elle a eu un fils, Kerjean découvre que l'industriel a en fait été assassiné et commence à comprendre qu'il a été manipulé pour détruire la réputation de Benoît-Lambert et faire croire qu'il a mis fin à ses jours.
Déterminé à découvrir la vérité, Kerjean continue son enquête, demandant entre autres l'aide de Laura Weber. Il apprend que JBL n'avait aucune intention de vendre l'entreprise Electronic de France à GTI et constituait un dossier prouvant le passé de la multinationale américaine, qui a vendu des armes à l'Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale. Mais une organisation secrète en cheville avec GTI, ayant eu vent du plan de Benoît-Lambert, a décidé de régler le problème. Alors qu'il s'enfonce de plus en plus dans son enquête, le journaliste voit sa vie et celle de ses proches menacées. Après que son fils a échappé à une chute mortelle, Kerjean demande à Hélène de partir avec l'enfant en province pour leur protection.
De retour chez lui, Kerjean retrouve l'informateur, Hankins, qui travaille pour l'organisation, qui le braque avec une arme. Venu récupérer le dossier incriminant que le journaliste a obtenu auprès d'Holstein, un ancien cadre de la branche autrichienne de GTI, il s'apprête à l'éliminer en faisant passer sa mort pour un suicide. Kerjean, qui avait caché un pistolet, s'en empare et abat Hankins de plusieurs balles, le tuant sur le coup. Le journaliste décide de se planquer dans un hôtel près de la ville de ses débuts pour y écrire son article intitulé « Mille milliards de dollars ». Hélène le retrouve et décide de l'aider à l'écriture.
Kerjean appelle la rédaction de la Tribune pour lui proposer de le publier. Mais comprenant que l'organisation a fait disparaître le corps d'Holstein et veut le faire discréditer en laissant la fausse lettre de suicide chez lui, le reporter se voit opposer un refus et commence à douter quand Hélène trouve la solution en le faisant publier dans le quotidien local où il travaillait et avec le directeur duquel il est resté en contact, le bienveillant Guérande. Le journal est alors tiré à plusieurs milliers d'exemplaires et uniquement consacré au sujet de Kerjean, grâce au soutien de Guérande mais aussi d'Hélène, avec laquelle il renoue.
Fiche technique
Titre français : Mille milliards de dollars
Réalisation : Henri Verneuil
Scénario : Henri Verneuil, d'après Gare à l'intoxe ! de Lawrence Meyer2
Musique : Philippe Sarde
Décors : Jacques Saulnier
Costumes : Jacqueline Moreau
Photographie : Jean-Louis Picavet
Son : Serge Deraison
Montage : Pierre Gillette
Production : Henri Verneuil
Direction de production : Jacques Juranville
Sociétés de production : Films A2, SFP Cinéma et V. Films
Société de distribution : AMLF
Pays d’origine : Drapeau de la France France
Langue originale : français avec quelques dialogues en anglais et allemand
Format : couleur — 35 mm — 1,66:1 — son monophonique
Genre : drame, thriller
Durée : 130 minutes
Dates de sortie : France : 10 février 1982
Classification CNC3 : tous publics (visa d'exploitation no 53218 délivré le 27 janvier 1982)
Distribution
Patrick Dewaere : Paul Kerjean
Caroline Cellier : Hélène Kerjean
Charles Denner : Walter, le détective privé
Robert Party : Jacques Benoît-Lambert, dit "JBL"
Jeanne Moreau : Mme Benoît-Lambert
Anny Duperey : Laura Weber, la maîtresse de JBL
Mel Ferrer : Cornelius "Nell" Abel Woeagen, président de GTI
Jacques François : Fred Great
Michel Auclair : Michel Saint-Claude, directeur de GTI-Europe
Jean-Laurent Cochet : Serge Hartmann, directeur de "La Tribune"
André Falcon : Pierre Bayen, rédacteur en chef
Edith Scob : Mme Bronsky
Jean-Pierre Kalfon : Stan Hankins, l'informateur
Fernand Ledoux : M. Guérande
Marc Eyraud : Sylvestre
Rachid Ferrache : Éric Bronsky
Jean Mercure : Joachim Holstein, directeur de GTI-Autriche
Transaction
Created
1 year ago
Content Type
Language
video/mp4
fr