Alexander Arpaschi voulait juste aider ses locataires: un résident syrien partagé par des étudiants avait harcelé ses colocataires à plusieurs reprises. Afin de protéger les jeunes femmes, Arpaschi a voulu expulser le syrien sans préavis. L'individu l'a immédiatement attaqué avec une arme blanche et l'a gravement blessé au bras. Avant même qu'Alexandre Arpaschi ne se réveille de l'anesthésie de sa chirurgie d'urgence, le procureur avait déjà relâché l'agresseur. Arpaschi ne comprend toujours pas comment une telle chose est possible dans un État constitutionnel: un propriétaire qui prend ses responsabilités doit craindre maintenant, alors que celui qui l'a emmené à l'hôpital n'a guère de conséquences graves à attendre. Sous couvert de besoin de protection, des délinquants violents sans scrupules entrent en Allemagne et les autorités ignorent le danger qu'ils représentent.