Après avoir participé à un hold-up et avoir évité de justesse la pendaison,
Charlie s'enfuit en plein désert avec son complice Ben. Poursuivis par les autorités,
les deux bandits s'associent avec trois autres cow-boys pour conserver leur butin.
Casper et Wendy (Casper Meets Wendy) est un film fantastique américain réalisé par Sean McNamara, sorti directement en vidéo en 1998, fondé sur le dessin animé Casper le gentil fantôme. Il est un spin-off du film Casper.
Résumé
Casper, un gentil fantôme, est le bouc-émissaire de ses trois oncles, les mauvais Teigneux, Bouffi et Crado. Épuisés à force d'effrayer les humains (qu'ils appellent les charnus ), les 3 compères décident de prendre des vacances et embarquent Casper avec eux pour porter leurs bagages. Au même moment, le cruel Desmond Maléfix apprend de son oracle qu'il risque de perdre sa place de plus grand sorcier du monde au profit de Wendy, une gentille petite sorcière qui vit avec ses trois tantes qui adorent effrayer les humains. Desmond envoie des hommes pour capturer Wendy, mais cette dernière leur échappe, accompagnée de ses tantes excentriques. Toutes quatre décident de se cacher dans la ville où Casper et ses oncles ont décidé de passer leurs vacances.
Casper et Wendy se rencontrent et deviennent amis, mais leur amitié est tenue secrète en raison de la haine que se vouent mutuellement sorcières et fantômes. Casper et Wendy décident de rapprocher leurs familles. Casper convainc ses oncles de posséder des charnus et de s'inviter à un bal où les sorcières sont également présentes. Le plan échoue quand les sorcières découvrent que leurs trois cavaliers étaient des fantômes ; ces derniers jurent de les détruire. Casper apprend ensuite de Wendy qu'elle et ses tantes ne pouvaient utiliser leurs magies sans être repérées par Desmond Maléfix. Désirant la protéger, Casper essaye en vain de convaincre ses oncles de laisser les sorcières tranquilles et leur avoue accidentellement que les sorcières ne peuvent pas utiliser leurs pouvoirs. Les trois fantômes se vengent alors des sorcières, mais Wendy les met en fuite avec sa baguette, ce qui permet à Desmond de retrouver sa trace.
Wendy en veut beaucoup à Casper et s'apprête à partir, mais Desmond la capture ainsi que ses tantes. Wendy est projetée dans le gouffre mystique qui est censé la tuer, mais Casper et ses oncles arrivent à temps pour sauver Wendy et ses tantes. Finalement, Desmond Maléfix est lui-même projeté dans le gouffre mystique et Wendy devient, pour avoir sympathisé avec un fantôme, la plus grande sorcière.
Les vacances touchent à leur fin : Wendy est enfin respectée par ses tantes et traitée comme une des leurs. Elle dit adieu à Casper qui s'apprête à également rentrer au manoir Winstaf avec ses oncles. Wendy rend un dernier service à Casper en forçant les oncles de son ami à porter les bagages pour le voyage de retour.
Fiche technique
Titre original : Casper Meets Wendy
Titre français : Casper et Wendy
Réalisation : Sean McNamara
Scénario : Jymn Magon
Production : Mike Elliott, Amy Goldberg, Rob Kerchner, Jeffrey A. Montgomery, Lance H. Robbins et Haim Saban
Sociétés de production : Saban Entertainment et The Harvey Entertainment Company
Budget : 6,4 millions de dollars (4,85 millions d'euros)
Musique : Udi Harpaz
Photographie : Christian Sebaldt
Montage : John Gilbert
Décors : Shannon Denton et Nava
Costumes : Tami Mor, Rina Ramon et Ryck Schmidt
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 1,85:1 - Dolby Digital - 35 mm
Genre : comédie, fantastique
Durée : 90 minutes
Dates de sortie : 8 septembre 1998 (sortie vidéo Australie), 22 septembre 1998 (sortie vidéo États-Unis)
Distribution
Hilary Duff (VF : Kelly Marot ; VQ : Claudia-Laurie Corbeil) : Wendy la gentille petite sorcière
Cathy Moriarty (VF : Dominique Lavanant ; VQ : Anne Caron) : Geri, la première tante
Shelley Duvall (VF : Régine Teyssot ; VQ : Johanne Léveillé) : Gabby, la seconde tante
Teri Garr (VF : Nathalie Régnier ; VQ : Élise Bertrand) : Fanny, la troisième tante
George Hamilton (VF : François Dunoyer ; VQ : Vincent Davy) : Desmond Spellman
Jeremy Foley (VF : Paul Nivet ; VQ : Lawrence Arcouette) : Casper (voix)
Jim Ward (VF : Daniel Lafourcade ; VQ : Luis De Cespedes) : Teigneux, le premier oncle de Casper (voix)
Bill Farmer (VF : Gilbert Levy ; VQ : Daniel Lesourd) : Crado, le second oncle de Casper (voix)
Jess Harnell (VF : Michel Tugot-Doris ; VQ : Benoit Rousseau) : Bouffi, le troisième oncle de Casper (voix)
Blake Foster : Josh Jackson
Sebastian Hitzig : le réceptionniste d'hôtel
Michael McDonald : Spike (Humain possédé par Teigneux)
Travis McKenna : Phil (Humain possédé par Bouffi)
Patrick Richwood (VQ : Ronald France) : Vince (Humain possédé par Crado)
Richard Moll (VF : Jean-François Aupied) : Jules
Vincent Schiavelli (VF : Bernard Alane) : Vincent
Pauly Shore (VF : Eric Missoffe ; VQ : Jacques Lavallée) : Oracle
Maria Ford : Fanny (playmate)
Full Contact est un film américain réalisé par Sheldon Lettich, sorti en 1990.
Synopsis
François Gaultier, un misérable trafiquant de drogue, est brûlé vif par un gang. À l'hôpital, il demande à sa femme de contacter son frère Lyon. Ce dernier se trouve dans la Légion étrangère en Afrique du Nord. Il déserte pour rejoindre les États-Unis. Là, il fait la connaissance de Joshua, qui le fait participer à des combats clandestins de full contact. Lyon gagne assez d'argent pour traverser le pays et retrouver la famille de son frère.
Fiche technique
Titre : Full contact
Titre original : Lionheart
Autre titres 1:
Drapeau de l'Australie Australie : Wrong Bet
Drapeau du Canada Canada : Cœur de Lion
Drapeau de la France France (vidéo) : Leon
Drapeau du Royaume-Uni Royaume-Uni : A.W.O.L.: Absent Without Leave
Réalisation : Sheldon Lettich
Scénario : Sheldon Lettich et Jean-Claude Van Damme
Siciétés de production : Wrong Bet Productions / Imperial Entertainment
Production : Eric Karson, Ash R. Shah, Anders P. Jensen, Sundip R. Shah et Sunil R. Shah
Musique : John Scott, Ken Tamplin et Stephen Edwards
Photographie : Robert C. New
Montage : Mark Conte
Décors : Gregory Pickrell
Costumes : Joseph A. Porro
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 1,85:1 - Dolby - 35 mm
Genre : Action, Drame
Durée : 105 minutes / 109 minutes (version Scommessa Vincente)
Budget : 6 millions de dollars
Dates de sortie :
1er mars 1990 (Argentine)
1er août 1990 (France)
11 janvier 1991 (États-Unis)
Distribution
Jean-Claude Van Damme (VF : Bernard Bollet) : Leon Gaultier (Lyon Gaultier en V.F)
Harrison Page (VF : Thierry Desroses) : Joshua
Deborah Rennard (en) : Cynthia
Lisa Pelikan : Hélène Gaultier
Ashley Johnson : Nicole Gaultier
Brian Thompson (VF : José Luccioni) : Russell
Abdel Qissi : Attila
Voyo Goric : Sergent Hartog
Michel Qissi : Moustafa
George McDaniel : Adjudant
Eric Karson : Docteur
Ash Adams : François
William T. Amos : Dealer
Roz Bosley : Infirmière
Dennis Rucker : Légionnaire irlandais
Billy Blanks : Légionnaire africain
Possessed (ou Exorcism lors de sa sortie DVD française) est un téléfilm américain réalisé par Steven E. de Souza, diffusé en 2000.
Synopsis
Suite à la mort subite de sa tante adepte de spiritisme, le jeune Robbie développe d’étranges symptômes. Après plusieurs diagnostics, la médecine se montre dépourvue face à des crises de plus en plus violentes où l’enfant semble possédé par le mal. Désemparés, les parents font appel au père William Bowdern qui leur apparait comme leur dernier espoir de guérison…
Fiche technique
Titre : Possessed
Titre DVD : Exorcism
Réalisation : Steven E. de Souza
Scénario : Michael Lazarou et Steven E. de Souza, d'après le livre Possessed: The True Story of an Exorcism, de Thomas B. Allen
Production : Barbara Title
Musique : John Frizzell
Photographie : Edward J. Pei
Montage : Anthony Redman
Décors : John Dondertman
Costumes : Michael Harris
Pays d'origine : États-Unis
Format : Couleurs - 1,33:1 - Stéréo - 35 mm
Genre : Horreur, fantastique
Durée : 106 minutes
Date de diffusion : 22 octobre 2000 (États-Unis)
Distribution
Timothy Dalton : le père William Bowden
Henry Czerny : (VF : Gérard Malabat) le père Raymond McBride
Jonathan Malen (VF : Brigitte Lecordier) : Robbie Mannheim
Michael Rhoades : Karl Mannheim
Shannon Lawson (VF : Hélène Chanson) : Phyllis Mannheim
Christopher Plummer : Archbishop Hume
Michael McLachlan : Halloran
Richard Waugh : le révérend Eckhardt
Deborah Drakeford : Mme Eckhardt
Piper Laurie : tante Hanna
Brad Borbridge : le soldat allemand
Robert Tinkler : le soldat américain
Scott Wickware : le policier raciste
Jefferson Mappin : le prisionnier
Nicholas Pasco : le gardien de prison
Un fauteuil pour deux (Trading Places) est un film américain réalisé par John Landis et sorti en 1983.
Synopsis
Louis Winthorpe III est le directeur général de Duke & Duke Commodity Brokers, une florissante société de courtage en matières premières agricoles basée à Philadelphie. Billy Ray Valentine est un roublard, astucieux mais fauché. À leur insu, tous deux vont faire l’objet d’un pari insensé de la part des patrons de Louis, les frères Mortimer et Randolph Duke, deux personnages arrogants. Ces derniers ont en effet des vues divergentes sur le rôle de l’acquis et de l’inné : Mortimer affirme que certaines personnes sont capables de réussir dans toutes les situations qui s’offrent à eux tandis que d’autres échoueront systématiquement ; Randolph croit pour sa part qu’un gagnant peut déchoir si son environnement ne lui est plus favorable et que celui qui a échoué pourrait réussir dans d’autres conditions. Pour se mettre d’accord, ils conviennent de réaliser une expérience grandeur nature, le vainqueur remportant leur « montant habituel ».
Ils s’arrangent pour discréditer Louis lors d’une réunion en le faisant passer publiquement pour un voleur, ce qui conduit à son arrestation, son licenciement et au gel de son compte en banque. Ils envoient également leur employé Beeks payer Ophélie pour qu’elle embrasse Louis en public lorsque Pénélope, la fiancée de Louis, vient le trouver au commissariat. Dans le même temps, ils embauchent Valentine et lui offrent la place de Louis ainsi que l’appartement, propriété des Duke, qu’il occupait.
Les premiers jours, la thèse défendue par Randolph prévaut largement : largué par sa fiancée, rejeté par ses amis et sans ressources, Louis sombre rapidement dans la pauvreté. Il est recueilli par Ophélie, prise de remords, qui lui avoue qu’elle a été payée par les Duke. Ophélie lui avoue également qu'elle est une prostituée et elle lui promet de l'aider à regagner sa place dans la société. De son côté, Valentine use de sa sagesse populaire pour prédire avec justesse l’évolution du prix de certains actifs, ce qui lui vaut quelques beaux succès sur le marché des contrats à terme.
Louis tente par tous les moyens de regagner son rang et de discréditer Valentine. Lors de la fête de Noël, Louis force l’entrée et tente de dissimuler de la drogue dans le bureau de Valentine pour le faire accuser. Il est très rapidement maîtrisé et, humilié, doit quitter les lieux.
Les Duke doivent constater que Randolph a gagné le pari. Mortimer lui remet donc la somme convenue : un dollar. L’expérience ayant trouvé son terme, les frères s'accordent sur le fait que Valentine n'a plus sa place au sein de leur institution. Mais ils ne savent pas que Valentine, caché dans les toilettes pour y fumer un joint, a surpris leur conversation. Écoeuré d’avoir été pris pour un simple pion dans l’histoire, il rejoint Louis et Ophélie pour leur expliquer toute la situation.
Ayant renoncé à tuer les Duke, ce qui leur vaudrait à coup sûr la prison, Louis et Valentine, devenus à présent amis, conviennent que la pire situation pouvant arriver à de riches financiers serait d’être ruinés....
Titre original Trading Places
Réalisation John Landis
Scénario Timothy Harris
Herschel Weingrod
Musique Elmer Bernstein
Acteurs principaux
Dan Aykroyd
Eddie Murphy
Ralph Bellamy
Don Ameche
Denholm Elliott
Sociétés de production Paramount Pictures
Cinema Group Ventures
Pays d’origine Drapeau des États-Unis États-Unis
Genre comédie
Durée 114 minutes
Sortie 1983
Crocodile Dundee est un film australien réalisé par Peter Faiman (en), sorti en 1986. Il s'agit du premier film de la franchise Crocodile Dundee mettant en scène le personnage de Michael J. « Crocodile » Dundee, incarné par l'acteur Paul Hogan.
Synopsis
Sue Charlton, une journaliste américaine du quotidien new-yorkais Newsday, se rend pour un reportage en Australie dans le bush du Territoire du Nord. Elle y rencontre Michael J. « Crocodile » Dundee, un chasseur de crocodiles.
Sue ramène ensuite ce personnage atypique à New York, où il rencontrera quelques difficultés pour s'adapter à la vie urbaine moderne.
Données clés
Titre original Crocodile Dundee
Réalisation Peter Faiman (en)
Scénario Paul Hogan
John Cornell
Ken Shadie
Acteurs principaux
Paul Hogan
Linda Kozlowski
Sociétés de production Rimfire Films
Pays d’origine Drapeau de l'Australie Australie
Genre comédie
aventure
action
Durée 97 minutes
Sortie 1986
Casper est un film américain réalisé par Brad Silberling, sorti en 1995. Il est fondé sur le personnage de la série de bande dessinée publiée à l'origine par Harvey Comics. Le film est inspiré du court-métrage d'animation Casper le gentil fantôme, réalisé par Izzy Sparber en 1945. C'est le premier long métrage dont le héros principal est en images de synthèse.
Synopsis
Lorsqu'elle apprend que son père ne lui a laissé pour seul héritage qu'un vieux manoir abandonné dans l'état du Maine, Catherine "Carrigan" Crittenden est furieuse. Cependant, elle se ravise lorsqu'elle apprend l'existence d'un trésor caché quelque part dans la demeure. Or celle-ci s'avère être hantée par de nombreux fantômes qui la repoussent sans scrupule. Rebroussant chemin, elle engage James Harvey, un parapsychologue, afin de se débarrasser des revenants. Ce dernier s'installe au cœur du manoir avec sa fille Kathleen ("Kat"), qui fait bientôt la connaissance de Casper, un jeune fantôme. Celui-ci occupe la bâtisse en compagnie de ses trois oncles. Commence alors une cohabitation explosive... Casper est un gentil fantôme, contrairement à ses trois oncles. Les deux amis vont alors tout faire pour retrouver le trésor et surtout, redonner vie à Casper.
Fiche technique
Titre : Casper
Titre québécois : Casper : Le Spectropathe
Réalisation : Brad Silberling
Scénario : Sherri Stoner et Deanna Oliver (en)
Décors : Leslie Dilley
Costumes : Rosanna Norton
Photographie : Dean Cundey
Effets spéciaux : Industrial Light & Magic
Supervision des personnages digitaux : Dennis Muren
Montage : Michael Kahn
Musique : James Horner
Production : Colin Wilson, Jeff Franklin, Steve Waterman, Gerald R. Molen, Jeffrey A. Montgomery, Steven Spielberg et Paul Deason
Sociétés de production : Amblin Entertainment, Universal Pictures et The Harvey Entertainment Company
Budget : 55 millions de dollars (41,73 millions d'euros)
Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
Langue : anglais
Format : Couleurs - Format 35 mm - 1,85:1 - DTS
Genre : comédie, fantastique
Durée : 96 minutes
Dates de sortie : 26 mai 1995 (États-Unis), 4 octobre 1995 (France)
Distribution
Christina Ricci (VF : Alexandra Garijo) : Kathleen « Kat » Harvey
Bill Pullman (VF : Renaud Marx) : Dr James Harvey
Malachi Pearson (VF : Pascal Grull (incertain) et Richard Darbois pour « Super Casper » uniquement) : Casper (McFadden) (voix)
Cathy Moriarty (VF : Frédérique Tirmont) : Catherine "Carrigan" Crittenden
Eric Idle (VF : Philippe Peythieu) : Paul « Dibbs » Plutzker
Ben Stein (VF : Jacques Ciron) : M. Rugg
Spencer Vrooman (VF : Damien Dandre) : Andreas
Chauncey Leopardi (VF : Donald Reignoux) : Nicky
Wesley Thompson (VF : Thierry Desroses) : M. Curtis
Amy Brenneman (VF : Francine Laffineuse) : Amelia Harvey
Devon Sawa (VF : Pascal Grull) : Casper McFadden (forme humaine)
Garette Ratliff Henson (VF : Maël Davan-Soulas) : Vic DePhillippi
Jessica Wesson (en) (VF : Sauvane Delanoë) : Amber Whitmire
Joe Nipote (VF : Daniel Lafourcade) : Teigneux (Stretch en VO)
Joe Alaskey (VF : Gilbert Lévy) : Crado (Stinkie en VO)
Brad Garrett (VF : Michel Tugot-Doris) : Bouffi (Fatso en VO)
Doug Bruckner (VF : Vincent Violette) : le journaliste qui interview Kat (voix)
Caméos
Don Novello (VF : Patrick Laplace) : le père Guido Sarducci, l'exorciseur
Dan Aykroyd (VF : Richard Darbois) : Dr Raymond Stantz (Ghostbusters) (non crédité)
Clint Eastwood : lui-même (non crédité)
Rodney Dangerfield (VF : Michel Tugot-Doris) : lui-même (non crédité)
Mel Gibson (sans dialogue) : lui-même (non crédité)
Fred Rogers (VF : Jean-Pierre Leroux) : M. Rogers (archive footage)
Terry Murphy (en) (VF : Françoise Cadol) : elle-même (Hard Copy)
John Kassir : le Gardien de la Crypte (Crypt Keeper en VO)
Les Grands Moyens est une comédie policière réalisée par Hubert Cornfield en 1976, d'après un roman de Charles Exbrayat.
Synopsis
Dans la banlieue de Nice sévit le clan Conségude, des cousins corses sous la tutelle du parrain Camille Conségude. Un jour ils exécutent froidement l'inspecteur de police Antoine Giafferi, son épouse et son père. Le commissaire Compana chargé de l'enquête et corse également, soupçonne de suite le clan Conségude, mais ne peut rien faire, les alibis paraissant solides. Aux obsèques des victimes, Compana fournit, l'air de rien, les photos du clan à Basilia, la mère de la victime. Celle-ci va organiser la vengeance, avec l'aide précieuse de ses deux sœurs. Tous les moyens seront employés : grenade de la guerre de 14, arsenic, marteau, voiture sabotée, un seul en réchappera… provisoirement.
Fiche technique
Titre : Les Grands Moyens
Réalisateurs : Hubert Cornfield
Producteur: Paul Claudon
Régisseur général: René Brun
Régisseur adjoint: Jacques Francel
Scénario : Richard Caron, Hubert Cornfield, d'après le roman de Charles Exbrayat Les Menteuses, paru en 1970
Co-adaptations : Paul Gégauff, Jean Halain
Musique : François de Roubaix
Photographie : Maurice Fellous
Durée : 84 minutes
Genres : Comédie policière
Dates de tournage :
Date de sortie : 6 février 1976
Pays Drapeau de la France France
Distribution
Hélène Dieudonné : Basilia Giafferi
Yvette Maurech : Antonia
Andrée de Beaumont : Barberine
Roger Carel : le cuommissaire Honoré Compana
Fernand Sardou : Camille Conségude, le patriarche
Catherine Rouvel : Angélina, la compagne de Compana
Agnès Gattegno : Petrina, la gouvernante de Giafferi
Robert Castel : Hubert Lacagne, le patron du bistrot
Lucette Sahuquet : Antoinette Lacagne
Jean-Jacques Moreau : Fred Conségude
Jean Panisse : Barnabé Conségude
Charly Bertoni : Tino Conségude
Charles "Coco" Orsini : Pascal Conségude
Pierre Koulak : Esprit Conségude
Gérard Berner : Castagnier, l'employé des Conségude
Jackie Sardou : Josette Conségude
Georges Claisse : Jacques Desvaux, l'adjoint du commissaire Compana
Jacques Francel : le commissaire Louis Castelli
Jean-Pierre Lorrain : un policier
Jacques Strocchio : le gendarme, amant d'Angélina
Roger Lumont : un client de la prostituée (non-crédité)
Henri Attal : un client du bar Le Petit Bastia
Michel Garnier
Auguste Danielle
Claude Rossignol
Crocodile Dundee 3 (Crocodile Dundee in Los Angeles) est un film australo-américain réalisé par Simon Wincer et sorti en 2001. Il s'agit du troisième et dernier film de la franchise mettant en scène le personnage de Michael J. « Crocodile » Dundee incarné par Paul Hogan.
Synopsis
Mick vit heureux dans le bush australien. Il doit cependant se rendre à Los Angeles avec sa femme Sue Charlton et leur jeune fils, Mikey. Mick doit aider Sue à reprendre la direction d'un magazine. Elle découvre que son prédécesseur enquêtait sur une affaire louche.
Fiche technique
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Titre français : Crocodile Dundee 3
Titre québécois : Crocodile Dundee à Los Angeles
Titre original : Crocodile Dundee in Los Angeles
Réalisateur : Simon Wincer
Scénario : Matthew Berry et Eric Abrams, d'après les personnages créés par Paul Hogan
Musique : Basil Poledouris
Direction artistique : Ben Bauer, Bill Booth et Lisette Thomas
Décors : Lisa Thompson et Leslie Binns
Costumes : Marion Boyce
Photographie : David Burr
Son : Leonel Pedraza
Montage : Terry Blythe
Production : Paul Hogan et Lance Hool
Coproducteurs : Perry Katz et Conrad Hool
Producteurs délégués : Kathy Morgan, Jim Reeve et Steve Robbins
Société de production : Bungalow Productions, Silver Lion Films et Vision View Entertainment
Sociétés de distribution : UIP (Australie), Universal Pictures (États-Unis), SND (France)
Budget : 25 000 000 $1
Pays d'origine : Drapeau de l'Australie Australie, Drapeau des États-Unis États-Unis
Langue originale : anglais
Format : couleur - 35 mm - 1,85:1 (Panavision) - son DTS | Dolby Digital | SDDS
Genre : comédie, aventure, action
Durée : 92 minutes
Dates de sortie2 :
Drapeau de l'Australie Australie : 12 avril 2001
Drapeau des États-Unis États-Unis : 20 avril 2001
Drapeau de la France France : 27 juin 2001
Drapeau de la Belgique Belgique : 15 août 2001
Classification3 :
Drapeau des États-Unis États-Unis : PG (Certaines scènes peuvent heurter les enfants - Accord parental souhaitable)
Drapeau de la France France : Tous publics
Distribution
Paul Hogan (VF : Yves Rénier) : Michael J. « Crocodile » Dundee
Linda Kozlowski (VF : Ivana Coppola) : Sue Charlton
Jere Burns (VF : Patrick Laplace) : Arnan Rothman
Jonathan Banks (VF : Mario Santini) : Milos Drubnik
Alec Wilson (VF : Mathieu Buscatto) : Jacko
Gerry Skilton : Nugget O'Cass
Steve Rackman : Donk
Serge Cockburn (VF : Olivier Martret) : Mikey Dundee
Aida Turturro : Jean Ferraro
Paul Rodriguez (VF : Michel Tugot-Doris) : Diego
Kaitlin Hopkins : Miss Dorothy Mathis
Clare Carey (VF : Mélody Dubos) : le skater
Mike Tyson (VF : Mario Santini) : lui-même
David Ngoombujarra : Arthur
Patrick Dargan : Troy
Morgan O'Neill : Matt
Daryl Keith Roach : un policier
Joe Michael Burke : un policier
Jim Davidson : un policier
Hal Fishman : lui-même
Marta Waller : elle-même
Keli Daniels : Didi
Grant Piro : le guide
John Billingsley : Barry Katz
Jay Acovone : Eric Barry
Gregg Donovan : le concierge
Kenneth Ransom : Phil
Peter Kent : Carl
George Hamilton : lui-même