Encore bisbille entre Merlin et Élias. Arthur essaie encore de les ménager... Jusqu'à ce qu'il découvre qu'Élias a acheté fort cher une griffe de dragon.
Les Burgondes campent sur le territoire d’Arthur. Ce dernier organise une entrevue avec le roi des Burgondes, mais sans interprète, il ne parvient pas à aborder le sujet du traité de paix.
Un traité de paix est sur le point d’être signé, et un garde du corps est affecté à la protection d’Arthur. Ce garde du corps, très zélé, ne quitte pas des yeux le roi, y compris lorsqu’il est au lit avec une de ses maîtresses, et menace de tuer quiconque s'approche trop près de lui et pourrait ainsi menacer sa sécurité.
Un voleur nargue l’autorité du roi en refusant de dénoncer ses complices.
Léodagan propose de le torturer, et fait venir Venec pour qu'il présente ses produits à Arthur et Bohort.
De son côté, Guenièvre voudrait que Arthur lui raconte ses journées.
Le peuple gronde. Bohort pense que c'est à cause de l'échange d'épouse du roi. Guethenoc et Roparzh, reçus en séances de doléances, viennent se plaindre des giboulées. Quand Bohort leur demande leur avis sur l'échange d'épouses, ceux-ci, n'en ont rien à faire. Mais qu'est ce que le gouvernement fait pour les giboulées ?
À Kaamelott, on prépare le banquet des chefs de clans. Bohort veut servir des fruits de saison, tandis que Venec insiste pour qu’ils commandent plusieurs douzaines de femmes, et propose de fournir trois porcs par personne.