«Des foules antisémites ont pris possession des principales universités», s'émeut le Premier ministre alors que le mouvement de contestation sur les campus prend une ampleur inédite.
Nous constatons cette montée exponentielle de l'antisémitisme alors qu'Israël tente de se défendre contre des terroristes génocidaires
Par «antisémitisme», il faut évidemment comprendre toute critique du massacre commis par Israël dans la bande de Gaza.
Une stratégie éculée - récemment dénoncée par Moscou - et qui ne prend plus du tout, même en Occident où l'opinion publique ne se laisse plus intimider.
Tant et si bien que Netanyahou, qui exige une réponse forte de Washington, en est réduit à menacer la planète:
«L'antisémitisme précède toujours des conflagrations plus importantes qui ont embrasé le monde entier.»
« Je remercie tous les aumôniers ukrainiens qui sont dans l’armée, dans les forces de défense, là-bas, sur la ligne de front. C’est la raison d’être de l’église, avec les gens. Et pas à deux mille cinq cents kilomètres de là, quelque part pour s’engager dans une médiation virtuelle entre ceux qui veulent vivre et ceux qui veulent vous détruire.