Il y a quelques mois de nombreuses personnalités en France voulaient enfermer de force les non vaccinés pour lutter contre le covid. Or, sachant que la nouvelle pandémie de la variole du singe touche cette fois principalement la communauté homosexuelle, ne faudrait-il pas (en reprenant au fond les idées de Caroline Fourest and Co à propos des non vaccinés) cantonner de force les gays pendant la durée de la pandémie de la variole du singe, et ce, afin de protéger les autres couches de la population? Ou bien les gays sont-ils devenus les sacro-saints intouchables de la république ?

(Vidéo faite à l'origine en direct sur youtube) Le vrai débat sur l'avortement n'a à ce jour toujours pas eu lieu. Je le prouve dans cette vidéo. En outre, suite aux attaques organisées et en groupes des lobbies antichrétiens qui veulent à tout prix non pas discuter mais faire bloquer tous les comptes qui les dérangent en brandissant l'épouvantail de "la loi", je rappelle que la limite de la loi est là où commence la conscience universelle qui vient de Dieu (donc la vérité et la justice). Quand dans cet horrible système barbare qu'était l'Allemagne nazie, Monsieur Oscar Schindler sauvait des juifs, il était "hors la loi" puisque la loi de l'époque autorisait l'extermination des juifs innocents. Et pourtant Monsieur Schindler avait bien entendu raison. Non? De même quand le grand Nelson Mandela se battait à juste titre contre l'abominable système raciste qu'était l'apartheid en Afrique du sud, il était lui aussi, à l'époque "illégal" (selon la loi de son pays d'alors) et pourtant lui aussi avait raison. Maintenant les deux grands hommes sont considérés à juste titre comme des héros. En effet, les lois sont élastiques en fonction des cultures qui passent et ce, contrairement à la conscience universelle, qui, elle, est stable et demeure à jamais cette "petite voix" qui au fond de nous-même nous aide à distinguer entre le bien et le mal. Si demain une loi légalise la pédophilie, cela ne fera pas de la pédophilie quelque chose de bien. Encore une fois, la limite de la loi est là où commencent la conscience universelle, la justice et la vérité ainsi que la protection des plus faibles sans défenses.